Rejoignez-nous pour une semaine d’action contre Barrick Gold ! – jusqu’au dimanche 16 avril 2023 – Aux côtés des communautés touchées par l’exploitation aurifère « légale » dans le monde !

“Va tuer pour l’or !”
Société aurifère Barrick

Alors que Barrick Gold se prépare pour son AGA le 2 mai, je rejoins les communautés de première ligne dans leur semaine d’action !

Les communautés du monde entier prendront des mesures pour montrer comment Barrick ignore systématiquement leurs préoccupations concernant la violence de ses opérations sur leurs terres, leurs eaux et leurs vies !

Malgré l’affirmation du président-directeur général de Barrick Gold, Mark Bristow, selon laquelle “la reconnaissance et le respect des droits de l’homme sont depuis longtemps une valeur fondamentale” pour Barrick Gold, les personnes vivant à proximité des opérations de Barrick dans le monde racontent une histoire différente !

En Alaska, les communautés autochtones s’opposent fermement au projet de mine d’or Donlin de Barrick, car elles pensent qu’il nuirait à leurs terres et à leurs moyens de subsistance traditionnels, et un juge de l’Alaska s’est dit préoccupé par ses impacts potentiels sur la qualité de l’eau !

En Tanzanie, depuis plus d’une décennie, les communautés autochtones ont signalé l’usage excessif de la force par la sécurité de la mine et les expulsions forcées des opérations minières de Barrick Gold, et il y a eu trois poursuites internationales liées à ces allégations !

Les militants soutiennent que l’accord de Barrick Gold avec le gouvernement central du Pakistan pour extraire l’or et le cuivre de la mine Reko Diq est illégal et que les habitants du district de Chaghi au Balouchistan n’ont pas consenti à ce projet !

Communautés de Marinduque, aux Philippines, touchées par Barrick Gold
la mine a revendiqué des impacts environnementaux sur leurs rivières et il y a eu de nombreuses tentatives légales pour tenir l’entreprise responsable !

À Porgera, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, pendant des décennies, les communautés ont protesté contre les pratiques d’élimination des déchets de la mine Barrick Gold et contre le recours excessif à la force et les agressions sexuelles présumés par la sécurité minière contre les villageois locaux !

L’expansion de la mine de Cortez fait face à une vive opposition de la part des protecteurs des terres Western Shoshone qui voient le projet sur leurs terres ancestrales, connues sous le nom de Newe Sogobia, comme un génocide culturel et spirituel !

« Barrick a déversé plusieurs fois des produits chimiques toxiques dans l’eau de la rivière Jáchal, alors qu’il opérait au cœur de la réserve de biosphère de San Guillermo. La solution est que l’entreprise parte. – Domingo Jofré, Asamblea Jáchal No se Toca, San Juan, Argentine

Les méga-mines de Barrick Gold sont ÉNORMES et toutes les mines d’or utilisent des substances toxiques ! Cela a conduit à la contamination des sources d’eau ! L’eau de la rivière Odiel a été INTERDITE à la CONSOMMATION HUMAINE, et plus récemment à l’IRRIGATION. La contamination minière est si grave qu’il est IMPOSSIBLE de construire un RÉSERVOIR nécessaire…

Les méga-sociétés minières MENTENT aux populations du Pérou et de l’Argentine. Il n’y avait jamais de MERCURE dans la rivière Jachal jusqu’à ce que BARRICK commence à extraire de l’or dans sa mine VELADERO. C’est pourquoi la chose la plus dangereuse dans les déversements de VELADERO est le MERCURE qui contamine la rivière Jáchal. Les communautés de Jáchal ont documenté et dénoncé cinq déversements toxiques à la mine de Veladero qui, selon elles, ont endommagé de manière irréversible l’écosystème local et suscité l’inquiétude de l’ONU !

Nous demandons que le processus initié par Barrick Gold pour obtenir le retrait d’un GLACIER situé au cœur de la Cordillère des Andes dans la ville de Barreal, département de Calingasta, San Juan, Argentine soit ANNULÉ immédiatement !

photo: Barrick Gold

Les communautés ont d’abord remarqué la mort des animaux. Puis ils ont dit que leurs enfants étaient tombés malades. Et les fruits ont commencé à moisir et à pourrir tout en restant accrochés à leurs arbres.

Depuis plus d’une décennie, la mine Pueblo Viejo de Barrick Gold en République dominicaine a dévasté la vie des personnes vivant dans les six villages voisins.

Et maintenant, Barrick a demandé un permis pour agrandir la mine, ce qui déplacerait sept autres communautés et apporterait encore plus de dévastation dans la région. La mine de Pueblo Viejo a été accusée de contaminer les rivières locales avec des métaux lourds et des produits chimiques au point que les habitants ont déclaré ne plus patauger dans les ruisseaux dans lesquels ils se baignaient autrefois de peur d’avoir des éruptions cutanées et des lésions cutanées.

Pendant plus d’une décennie, les communautés environnantes ont été obligées de dépendre de l’eau en bouteille pour tous leurs besoins en matière de boisson, de cuisine et de lavage. Et il y a une crainte généralisée que les produits locaux soient également contaminés.

Ils ont tenté de convaincre le gouvernement et Barrick Gold de re-localiser 450 familles qui vivent en aval du barrage de résidus d’El Llagal, qui contient les déchets miniers de Pueblo Viejo. Mais jusqu’à présent, leurs revendications ont été ignorées.

L’année dernière, Barrick Gold a présenté des plans pour construire un deuxième barrage de résidus près du barrage d’El Llagal afin qu’il puisse stocker encore plus d’eaux usées hautement contaminées. L’expansion permettrait à la mine Pueblo Viejo de rester ouverte pendant au moins 20 ans de plus. Et ce deuxième barrage se répéterait probablement et aggraverait problèmes environnementaux et de droits de l’homme déjà existants à El Llagal.

Mais le gouvernement dominicain n’a pas encore approuvé le permis. C’est pourquoi nous devons soutenir les efforts locaux pour convaincre les responsables gouvernementaux de mettre fin au dangereux projet d’expansion et de re-localiser les communautés déjà touchées par le barrage d’El Llagal dans une zone plus sûre.